Interview de deux intervenants de Centrale Nantes Études
Les intervenants dans une Junior sont au cœur de la structure puisqu’ils assurent la réalisation pratique des missions proposées par nos chefs de projets. Pour cette raison, nous avons décidé de mettre en valeur deux de nos intervenants à travers une interview sur leurs expériences en tant qu’intervenants à Centrale Nantes Études.
Bonjour, pouvez-vous vous présenter et nous dire en quelle année vous étiez lors de la réalisation de vos missions ?
B : Je m’appelle Bilel Benaouda, je suis actuellement en deuxième année à Centrale Nantes en option Ingénierie de Produits et j’étais en première année lors de ma mission pour CNE.
M-E : Je m’appelle Marie-Emmanuelle BONDO et je suis à présent diplômée du bi-master AMASONE entre Centrale Nantes et l’École Navale. J’ai réalisé mes missions en 2ème année de master.
Quelle(s) mission(s) avez vous réalisée(s) lors de votre parcours d'intervenant(e) avec CNE?
B : La mission qui m’a été confiée avait pour objectif de sonder les Centraliens de Nantes sur leur lien avec Centrale Nantes Alumni : les actions menées et les évolutions éventuelles des services proposés par CNA.
M-E : J’ai réalisé deux missions avec CNE. La première portait sur le développement d’une application prototype Android sur Flutter utilisant la technologie NFC ; la seconde sur une étude de marché en vue des élections municipales de la Chapelle-Sur-Erdre.
Pouvez-vous nous décrire cette/ces mission(s) en détail?
B : Pour ma part, c’était une étude de marché : le travail consistait en premier lieu à construire une base de données d’environ 400 contacts parmi les Centraliens de Nantes de la région Bretagne Pays-de-la-loire. Cette base de données devait être faite en se basant sur des critères bien définis. J’ai ensuite dû rédiger un questionnaire d’une dizaine de questions pour entamer une phase de passation de ce dernier par appel téléphonique, par Linkedin ou encore par mail à travers une stratégie de relance pré-établie. Finalement j’ai effectué une analyse des réponses obtenues et rédigé un rapport présentant les principaux leviers d’actions de CNA pour être au plus proche des attentes des Centraliens de Nantes.
M-E : Ma première mission consistait à interroger des citoyennes et citoyens dans les rues de La Chapelle-sur-Erdre. Les questions tournaient autour de la mobilité. J’ai d’abord dû m’atteler à la création du questionnaire ciblant la catégorie d’âge de plus de 40 ans, puis à la passation physique de ce questionnaire dans les rues de La Chapelle-sur-Erdre, et finalement à l’analyse et la rédaction d’un compte-rendu complet des informations collectées.
La seconde mission était axée sur le développement d’une application mobile pour un side business. Plus précisément, cette application permet à tout gérant d’une société de transport de vérifier que les contrôles assurant le bon état d’un camion sont bien effectués.
Être intervenant(e), qu'est ce que ça t'a apporté?
B : Être intervenant m’a apporté un cadre de travail professionnel et responsabilisant. Et puis les appels téléphoniques m’ont permis d’échanger avec de nombreux Centraliens, ce que j’ai particulièrement apprécié.
M-E : Les principaux apports de cette expérience sur mon parcours professionnel sont la gestion de projet, la régularité, la résilience, et une montée en compétences en accéléré.
D'après toi, quels étaient les avantages d'être un intervenant(e) sur votre parcours professionnel?
B : Je pense qu’être intervenant à CNE m’a permis de vivre une expérience professionnelle complète en commençant par le processus de recrutement (sélection selon les CV, puis les entretiens), jusqu’à la réalisation du travail final selon des délais et des critères bien définis. En plus de cela, être intervenant a développé mes compétences en soft skills nécessaires en entreprise comme la communication professionnelle avec le chef de projet et l’entreprise, les validations des tâches par le client et la conception de livrables.
M-E : Vivre une expérience pareille à CNE m’a fourni plus tard un exemple concret d’une compétence acquise en école d’ingénieur. Pour l’employeur, c’est aussi l’occasion de voir comment on sort de sa zone de confort vers le monde extérieur professionnel de l’entreprise. En plus, l’ajout de cette expérience dans ton CV est très valorisant et c’est grâce à cela que j’ai pu réaliser des missions pour M. Gérard Feldzer, président de Aviation sans frontières, fondateur de futura mobility et journaliste .
